Dans son ouvrage, PATHE MARCONI à CHATOU, De la musique à l’effacement des traces, Jean-Luc Rigaud non seulement nous rappelle une mémoire industrielle disparue mais nous invite également à comprendre pourquoi elle a pu être effacée dans une indifférence quasi générale. D’autant plus que cette mémoire se logeait dans un patrimoine d’architecture industrielle Art Déco.
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